Prix Caecilia Prijzen 2016
L’ensemble Scherzi Musicali et Nicolas Achten nous séduisent à nouveau en introduisant l’une des « Héroïnes du théâtre baroque », Marie-Madeleine, à travers le prisme de l’œuvre d’Antonio Bertali, La Maddalena (1663). Figure humaine, bien que biblique, qui allie sacré et profane, c’est avant tout la douleur et les sentiments d’une veuve éplorée qu’ont su capter subtilement, par une palette de couleurs et de dynamiques remarquable, les différents artistes réunis ici. (Ayrton Desimpelaere)
Het ensemble Scherzi Musicali en Nicolas Achten hebben ons alweer bekoord: ditmaal met een van de heldinnen van het baroktheater, Maria Magdalena, doorheen de bril van Antonio Bertali in La Maddalena (1663). In deze Bijbelse, maar niettemin menselijke figuur staan de smarten en gevoelens van een weduwe centraal. Met een sprankelend en dynamisch kleurenpalet brengt de uitgelezen groep artiesten een subtiel portret van een figuur tussen heilig en werelds.
Choir & Organ (Sep, 2016)
In Monteverdi’s time in Mantua, Mary Magdalen was remembered in theatrical interludes during Holy Week. He and his colleagues Guivizzani, Effrem and Rossi appear in an original programme, following the world premiere recording of La Maddalena by Antonio Bertali, premiered in Vienna in 1663. The outstanding singing and playing of Scherzi Musicali, perfectly capturing the balance between sacred and secular, is infused with solemn joy, tickling the palate like the marsala in a tiramisu. Staying in Holy Week, here’s an honourable mention for a double CD of solo Lamentatione by the Venetian Alessandro della Ciaia, emotively voiced by soprano Roberta Invernizzi with Laboratorio ‘600: sometimes daringly, almost painfully, plangent. …
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10/10 sur Crescendo
Le mystère Marie-Madeleine
Bien que cela ne saute pas aux yeux au premier abord, cette nouvelle parution Ricercar nous présente deux oeuvres complètes, faces très différentes d’une même médaille. Pièce de théâtre pour la première, oratorio pour la deuxième, elles ont un sujet commun: le personnage de Marie-Madeleine. Un long poème écrit par Giovan Battista Andreini en 1610 sert de base à une représentation théâtrale en cinq actes présentée à Mantoue en 1617. Les intermèdes musicaux, dus à pas moins de quatre compositeurs différents, sont rassemblés ici. Claudio Monteverdi ouvre le bal avec un prologue qui rappelle beaucoup celui du célèbre Orfeo, d’une dizaine d’années antérieur. Lui succèdent deux courtes pièces de Muzio Effrem, l’aîné des quatre né en 1555 et un moment au service de Gesualdo, une autre de Alessandro Guivizzani qui épousa la fille de Giulio Caccini et la dernière de Salomone Rossi, seul mantouan de souche parmi les quatre. L’ensemble est …
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