Mizler : Lieder et odes. Mertens, Rubens, Lutz, Amrein.

Lorenz Christoph Mizler (1711-1778)
Dass die Freiheit besser sei, als wenn man sich verliebt, livre 1 n° 2
Die Zufriedenheit, livre 1 n° 5
Die unglückliche Liebe, livre 1 n° 6
Von der Selbstzufriedenheit, livre 1 n° 5
Das Lob der elden Frieheit, livre 1 n° 9
Als er im Lieben vorsichtig sein wollte, livre 1 n° 22
Soldatenlied, livre 1 n° 23
Lob der Musik, livre 1 n° 24
Kurzer Begriff eines glückseligen Lebens, livre 2 n° 1
Die Gelassenheit, livre 2 n° 13
Die Mittelmässigkeit, livre 2 n° 14
Die Bildhauerkunst, livre 2 n° 17
Ein guter Freund, das beste Vergnügen, livre 2 n° 18
Schweigen und Hoffen, livre 2 n° 19
Die verworfne Liebe, livre 2 n° 24
An Margis, livre 3 n° 9
An Cölestinen, livre 3 n° 12
An Florabellen, livre 3 n° 15
Als er sich endlich wagte, livre 3 n° 16
Als er das, was er liebte, livre 3 n° 17

Klaus Mertens, basse-baryton
Sibylla Rubens, soprano
Rudolf Lutz, clavecin
Maya Amrein, violoncelle


Format: 1 CD
Release date: 1/7/2013
UGS : 0761203780327 Catégories : ,

13,90

Nous sont présentées ici vingt des soixante-douze odes du compositeur-mathématicien-philosophe bavarois Mizler (1711-1778) connu comme le « philosophe de Bach », fondateur de la Société des Sciences Musicales, dont la vocation était de « philosopher sur la musique et de lui appliquer les mathématiques ». Ce programme est dûment mis en œuvre dans ce recueil : les textes, Ovide, Horace et d’autres revus et corrigés par Gottsched, Hudemann, May, Krause, Triller, Günther, voire Mizler lui-même, traitent de morale : la Liberté vaut mieux que de tomber amoureux, Brève description de la vie heureuse, Un véritable ami est le plus grand des bonheurs, Silence et espoir ou de sujets moins austères : à la Sculpture, à la Musique, à Célestine, à Florabella. Quant à la musique, elle déroule, on s’y attend, un tissu impeccablement tissé et brodé sur une trame rigoureusement… mathématique, exécutée par Rudolf Lutz (organiste à St Gall, claveciniste ici et réalisateur des accompagnements, préludes et interludes instrumentaux) et par la violoncelliste Maya Amrein. La belle basse Klaus Mertens et le soprano Sibylla Rubens donnent vie à ces mathématiques musicales concertées, leur apportant l’expressivité, la poésie et le charme qui les complètent heureusement. (Danielle Porte)

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