Wagner : Rienzi. Kerl, Schönberg, Sindrom, Steinberg.

Richard Wagner (1813-1883)
Rienzi, opéra en 5 actes

Torsten Kerl
Marika Schönberg
Daniela Sindram
Richard Wiegold
Stefan Heidemann
Robert Bork
Marc Heller
Leonardo Neiva
Jennifer O’Loughlin
Chœur du Capitole
Chœur de l’Accademia Teatro alla Scala de Milan
Orchestre National du Capitole
Pinchas Steinberg, direction
Jorge Lavelli, mise en scène


Format: 1 DVD Video
Release date: 1/8/2013
SKU: 0809478011101 Categories: ,

27,90

Un univers noir sur noir ((hommes en redingote, gants et gibus noirs) où quelque fulguration révèle brutalement des chœurs tout blancs (femmes enturbannées sans cheveux). Seule couleur : le rouge, pour Irène et les cardinaux. Décor minimaliste : trois murs noirs. Accessoires de dérision : un diable de gare pour voiturer Irène ficelée ou servir de tribune à Rienzi, des brouettes pour apporter les corps des Orsini et des Colonna, et plus dérisoires encore dans l’univers cauchemardesque de J.Lavelli, le cheval blanc de Rienzi ou sa cuirasse d’or étincelante, bien en situation sur son pull à col roulé. Tout est fait pour rendre ridicules des personnages héroïques : vestons trop étroits, visage blafards, rictus hautains de bouches outrageusement maquillées au point qu’on est surpris par une voix de basse profonde sortie d’un visage de femme, sourcils clownesques, mimiques de pantins… Si on ferme les yeux, on est transporté par la voix et l’endurance vocale de Torsten Kerl, à la hauteur d’un rôle inhumain, vaillamment secondé par Irène (Marika Schönberg) et Adriano (Daniela Sindram). De très grands moments : l’ouverture, transcendée par Pinchas Steinberg, le Allmächt’ger Vater et le Erstehe hohe Roma, grandioses. (Danielle Porte)   in Opera Now (Oct, 2013)
An adventurous addition to the Wagner celebrations, Jorge Lavelli’s production of Rienzi is a sombre affair. A simple set keeps the action flowing and the moments of high drama are not shirked. But in his focusing on the series of betrayals that run through the plot, Lavelli’s interpretation misses some of the interpersonal drama between the protagonists – there’s something overly dispassionate about the performance. Pinchas Steinberg’s conducting provides a large part of that missing colour, with a controlled but vivid reading of this sprawling score. Torsten Kerl’s tenor remains unflagging throughout, with reserves to make something special of his Act 5 prayer. Marika Schonberg’s Irena is curiously faceless, and I …

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