Prix Caecilia Prijzen 2016
Het is misschien blasfemisch om hier de Bijbel te citeren. Maar het laatste lied op de eerste Brahms-cd van Mathias Goerne en Christoph Eschenbach zegt: “Al sprak ik de talen van mensen en engelen, als ik de liefde niet had, was ik niet meer dan een galmend bekken of een schelle cymbaal.” Geloof mij: ze hebben de liefde en de kunde en nog veel meer. In de ‘Vier ernste Gesänge’, zeker, maar misschien nog meer in de liederen op.32 of in de wonderlijke Heine-liederen. Brahms op zijn best. (Stephan Moens)
Citer la Bible ici est peut-être blasphématoire mais on notera que dans le dernier lied de cet enregistrement – où Mathias Goerne et Christophe Eschenbach signent leur premier CD Brahms – figure cette phrase de saint Paul : “Quand je parlerais la langue des hommes et des anges, si je n’ai pas l’amour, je ne suis qu’un airain qui résonne ou une cymbale qui retentit ». Croyez-moi : ces deux là ont l’amour et bien plus encore. Dans les Vier ernste Gesänge, bien sûr, mais peut-être plus encore dans les lieds op. 32 ou dans les merveilleux Heine-Lieder. Brahms au sommet. SM
sur Crescendo
Un Brahms bouleversant par le duo Goerne/Eschenbach
Au disque comme au concert, avec piano ou orchestre, Matthias Goerne et Christoph Eschenbach forment un couple musical qui ne cesse de séduire. Après un passage obligé – et réussi- par Schubert, les deux artistes se plongent dans l’univers plus sombre des opus de Brahms choisis ici. Avec plus de 200 pièces vocales – en tenant compte du fait que Brahms, très critique envers lui-même a certainement détruit une partie de son ½uvre – le lied a marqué de manière significative la carrière créatrice de Brahms. Adoptant des textes d’auteurs divers (du sacré au profane), Brahms attache……
Cet article complet sur www.crescendo-magazine.be
Reviews
There are no reviews yet.