Orphée descendant aux Enfers, H.471
I. Prélude
II. Récit d’Orphée, violon lentement
III. “Effroyable enfers, où je conduis mes pas”
IV. “Quelle douce harmonie a frappé mon oreille ?”
V. “Vos plus grands criminels rongés par des vautours”
VI. “Ne cherchons plus d’où vient cette tendresse”
La descente d’Orphée aux Enfers, H.488
I. Ouverture
II. “Inventons mille jeux divers”
III. “Compagnes fidèles”
IV. “Soutiens-moi, chère Énone”
V. “Qu’ai-je entendu ? Que vois-je ?”
VI. “Ah ! Bergers c’en est fait”
VII. Entrée de Nymphes et de Bergers désespérés
VIII. “Lâche amant, pourrais-tu survivre”
IX. “Ne tourne point, mon fils”
X. “Que d’un frivole espoir”
XI. “Affreux tourments, gênes cruelles”
XII. “Cessez, cessez fameux coupables”
XIII. “Quelle touchante voix”
XIV. “Je ne refuse point ce secours”
XV. “Il n’est rien aux Enfers”
XVI. Entrée des Fantômes
XVII. “Que cherche en mon palais ce mortel téméraire ?”
La descente d’Orphée aux Enfers, H. 488: XVIII. “Je ne vis point ici, Monarque des Enfers”
XIX. “Pauvre amant, quel cour de rocher”
XX. “Eurydice n’est plus, et mon feu dure encore”
XXI. “Le destin est contraire à ce que tu souhaites”
XXII. “Tu ne la perdras point, hélas, pour le la rendre”
XXIII. “Quel charme impérieux m’incite à la tendresse ?”
XXIV. “Souviens toi du larcin que tu fis à Cérès”
XXV. “Je cède, je me rends, aimable Prosperine”
XXVI. “Vous partez donc, Orphée ?”
Deborah Cachet, Zsuzsi Toth, Reinoud van Mechelen, Vox Luminis, A Nocte Temporis, Lionel Meunier
20,90€
Si la Descente d’Orphée est connue, l’Orphée de 1684 est une rareté et une magnifique découverte. Dans ces deux rôles qui semblent écrits pour lui, Reinoud van Mechelen est au sommet de son art.
Als la Descente d’Orphée bekend is, is l’Orphée van 1684 een zeldzaamheid en een prachtige ontdekking. In deze twee rollen die voor hem geschreven lijken te zijn, bevindt Reinoud van Mechelen zich op het hoogtepunt van zijn kunst.
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