Errollyn Wallen : Photography, œuvres orchestrales. Wallen, Sharp, Harries, Kok, Headlam.

Errollyn Wallen (1958-)
Concerto pour violoncelle
Hunger
Photography
In Earth

Errollyn Wallen, voix
Matthew Sharp, violoncelle
Tim Harries, guitare basse
The Continuum Ensemble
Ensemble X
Nicholas Kok, direction
Philip Headlam, direction


Format: 1 CD
Release date: 1/3/2016
Barcode: 5023363022125 Categories: ,

17,90

Errolyn Wallen est née en 1958, au Belize, petit territoire situé en Amérique centrale. Enfant, elle déménage à Londres et y entame de solides études musicales. Elle poursuit aujourd’hui sa carrière en Angleterre. Sa musique déjà abondante (dont bon nombre de commandes institutionnelles BBC, Prom’s, Royal Opera House) s’affranchit des modes et des styles. Son style volontiers éclectique combine des influences multiples et ses emprunts à des compositeurs du passé ne sont jamais artificiels mais témoignent d’une connaissance remarquable de l’histoire de la musique. Sa musique pour piano et pour petites formations puisent presque naturellement dans le jazz et la pop et elle n’hésite pas non plus à chanter dans des clubs en s’accompagnant au piano. Son credo : « We don’t break down barriers in music, we don’t see any… ». Personnalité singulière et attachante (Première femme noire à être jouée aux Prom’s), elle a été célébré : « Renaissance woman of contemporary british music » par le journal Observer. Quatre pièces au programme de ce portrait « photographique » d’Errolyn Wallen. Le Concerto pour violoncelle réinvestit avec talent un certain esprit néo-romantique. Wallen s’approprie le genre à l’aune des œuvres similaires de compositeurs anglo-saxons tels que Britten ou Walton. La suite en quatre mouvements Photographie utilise un pattern néo baroque (contrepoint et danses) en hommage à Bach, référence ultime de Wallen (« My hero »). Hunger est une fresque tempétueuse (« A ravaged landscape ») dont l’intensité motorique ne faiblit jamais (Ecoutez la citation quasiment littérale du Sacre dans les dernières mesures). Enfin In Hearth revisite le Didon de Purcell à travers la sublime aria When I’m laid in earth accompagnée ici d’un quatuor à cordes et d’une basse électrique et chantée divinement par la compositrice. Salutaire découverte. (Jérôme Angouillant)

0/5 (0 Reviews)

Reviews

There are no reviews yet.

Be the first to review “Errollyn Wallen : Photography, œuvres orchestrales. Wallen, Sharp, Harries, Kok, Headlam.”
Get 10% off with coupon code BLACK2023 until sunday 26/11 when you spend 50€ or more*
* Except promotions