10/10 sur Crescendo
Kremer et la Kremerata au faîte de leur art dans Kancheli
« Il faut bien comprendre que l’art […] n’existe pas en tant qu’art, en tant que détaché, libre, débarrassé du créateur, mais qu’il n’existe que s’il prolonge un cri, un rire ou une plainte ». Ces mots de Jean Cocteau résonnent avec une intensité particulière dans les ½uvres de Giya Kancheli. A l’instar de la plupart des partitions du compositeur géorgien, Chiaroscuro et Twilight traduisent, de l’aveu même de leur auteur, son affliction face à la corruption de la société contemporaine qui, dit-il, se montre décidément incapable de retenir les leçons du passé……
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