9/10 sur Crescendo
L’ineffable Benjamin Britten
On n’insistera jamais assez sur l’apport immense de Benjamin Britten aux instruments à cordes. Les partitions qu’il leur a consacrées sont presque toutes des chefs-d’½uvre, y compris celles qui ne sont pas les plus connues, à l’instar de son Prélude et fugue op. 29. Elle date de 1943 et, en moins de neuf minutes à peine, elle parvient à créer un climat envoûtant à travers des lignes musicales d’une infinie pureté, preuve que le compositeur anglais a quelque chose de Mozart et qu’il en est peut-être au XXe l’incroyable et stupéfiante réincarnation. Également menée à bien en 1943,……
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in Classical Music (Jul, 2016)
A welcome coupling of well- and less well-known Britten. Both Clayton and Watkins are characterful and winning in the Serenade, while Szucs is deeply impressive in the orchestral version of Lachrymae, one of the last projects Britten was able to undertake. Best of all is Soules in a suitably dazzling Young Apollo, a work we hear all too little. The orchestral playing is fresh, lacking only the last degree of polish. …
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