Penderecki : A sea of dreams did breathe on me. Matula, Rehlis, Skrla, Rajski.

Krzysztof Penderecki (1933-)
A sea of dreams did breathe on me, Songs of reflection and nostalgia, pour soprano, mezzo-soprano, baryton, chœur mixte et orchestre

The enchanted garden
What does the night say?
I visited you in these near-final days



Izabela Matula, soprano
Agnieszka Rehlis, mezzo-soprano
Leszek Skrla, baryton
Chœur et Orchestre Philharmonique de l’opéra de Podlasie
Wojciech Rajski, direction


Format: 1 CD
Date de sortie : 1/4/2014
Code barre : 5902547009636 Catégories : ,

20,60

« A sea of dreams did breathe on me » sous ce titre énigmatique se cache une des dernières œuvres du compositeur polonais Krzyztof Penderecki. Hommage à Chopin (c’est au départ une commande célébrant le bicentenaire), à la poésie polonaise contemporaine et, ad finem, au pays, à la nature et aux arbres, autre passion du compositeur. Chaque numéro de ce recueil de vingt et un lieder orchestraux est consacré à un texte de poètes choisis (Penderecki mis deux mois à les sélectionner) et organisé selon deux thèmatiques : La première : « Un jardin enchanté ». décrit tout un monde de fantaisie et de conte de fées, projections de rêveries hédonistes traitées en couleurs suaves et lumineuses, en textures orchestrales transparentes où la soprano file cantilène sur cantilène. Premier passage de l’Angélus : « at the ringing of the Angelus bells – in the heavens whither their voices fades out… » La seconde : « Ce que dit la nuit » poursuit la veine onirique en introduisant deux pièces de jeunesse pour baryton sur des poèmes d’ Aleksander Wat « … does the night say ? » suivi par une réponse chorale « the night does not say anything – the night scream » et l’intervention de la soprano dans une prière d’adieu : « the night will not die – quiet, blue night… ». Ces deux mouvements servent en fait de prologue à la troisième partie, la plus emblématique de la partition : un requiem dédié aux derniers jours de la vie de Chopin. Citation de la marche funèbre de la deuxième sonate. Sur des mots de Kamil Norwid et d’Adam Mickiewicz. Ligne descendante chromatique des basses. Largamente. Récurrence de la marche… Puis retour à l’Angelus qui déploie des ailes de soprano pour clore ces « songs of reflection and nostaghia » voyage d’une âme errante et solitaire, nostalgique du pays, des paysages aimés, de la nature fidèle, de la jeunesse lointaine et oubliée. Merveilleuse ambiguité entre la désolation du présent, le vertige du temps vécu et une puissante vague d’espoir qui s’élève derrière l’horizon tel un astre régénerant. Cette oeuvre programmatique au style décomplexé, à la fois impressionniste et puissamment argumenté, résume la philosophie d’un artiste parvenu à sa maturité. Elle est ici défendue par un chef, un orchestre, un choeur et des solistes qui ont la ferveur et la conviction inébranlables des croyants et des militants. (Jérôme Angouillant)   in Choir & Organ (Nov, 2014)
The Psalms of David settings from 1958 were a defining moment for Penderecki, confirming his belief that the human voice was the ultimate instrument. Sung in Polish, to the Jan Kochanowski text, rather than Latin, they have an additional resonance, and placing them last in this two-volume set is a nice way of showing how integral has been the composer’s work for voices over the last 50 years. Volume two also includes the recent Missa Brevis, a Kaddish, and O gloriosa Virginum for mixed choir, a brief but powerful statement of Polish Mariolatry, sung with restrained passion. The highlight of this sequence from Dux is the title piece of volume …

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